En quoi la littérature concentrationnaire révèle-t-elle la déshumanisation des déportés dans les camps de concentrations au cours de la seconde guerre mondiale ?

 

" Où il n'y a pas d'humour, il n'y a pas d'humanité, où il n'y a pas d'humour, il y a les camps de concentrations." Eugène Ionesco. 

 

 

    Bienvenue sur le site libertes-concentrationnaires, qui est la production finale de nos TPE où nous vous présenterons sous forme d’analyse littéraire la déshumanisation des individus dans les camps de concentrations au cours de la seconde guerre mondiale. Nous verrons pour cela l’analyse de deux œuvres concentrationnaires : Si C’Est Un Homme  de Primo Levi ainsi que La Nuit de Elie Wiesel. Les analyses que nous avons fournies sont faites à partir de différents passages de ces deux livres que nous avons relevés ; nous avons expliqué par la suite les différentes libertés aliénées ainsi que les moyens mis en place. Parfois, s’il était nécessaire, nous avons précisé la stylistique ainsi que les différents échos historiques.
    Nous avons choisis ces œuvres afin de montrer le contraste entre les deux âges des personnages, en effet nous retrouvons d’une part un adolescent dans l’œuvre de E.Wiesel et d’une autre part, un adulte dans celle de P.Levi. Nous avons effectivement trouvé les deux catégories d’âges intéressantes à mettre en parallèle pour voir si leur vision des choses est différente ou non. De plus, Si C’Est Un Homme avait été demandé à Primo Levi d’être rédigé sous forme de rapport sur le fonctionnement du camp tandis que La Nuit, a été rédigé une quinzaine d’années après les faits car l’auteur, Elie Wiesel n’arrivait pas à en parler auparavant.